Nous avons vécu d’excellentes impressions lors des deux concerts d’Alexandre Gorodnitski à Paris, nous nous sommes imprégnés des paroles et des intonations importantes de cette belle personne. Alexandre Moiseevitch Gorodnitski a partagé avec nous son expérience de vie extraordinairement riche, a chanté et a récité beaucoup par cœur. Et quel homme attentionné, courtois ! Il n’a arrêté d’échanger avec le public même pendant les entractes.
Toute la salle a filmé sa chanson « La Femme de l’Ambassadeur de France ». Et quand il a chanté « Les Atlantes », il s’est mis debout, et toute la salle l’a suivi. C’était solennel et émouvant. Comme à l’époque où le public se levait pour chanter ensemble les chansons qui sont devenus les vrais hymnes de ce genre de la chanson d’auteur.
Alexandre Gorodnitski a réuni des gens tous azimut avec des convictions et parcours tout différents. Nous sommes partis chercher l’Atlantide égarée emmenés par le poète, chanteur, homme scientifique océanographe.
On voudrait tant garder ce désir d’être ensemble, de chanter ensemble, de s’écouter et de s’entendre, pour que la chanson d’auteur continue à réunir, selon les souhaits d’Alexandre Gorodnitski.
Lui et sa belle équipe – Natalia Kaspérovitch, Alexandre Solomonov, Anna Kontouche – nous manquent déjà. Nous espérons enchaîner nos rencontres pendant cette année jubilaire d’Alexandre Moiseevitch Gorodnitski.